Découverte de l’île des Pins – 1ère partie
Découverte de l’île des Pins – 1ère partie

Découverte de l’île des Pins – 1ère partie

Notre semaine de vacances sur l’île des Pins a commencé de bonne heure, le mardi 28 décembre 2021.

Départ à 3h45 de Koné et après 3h15 de route, nous sommes arrivés à 7h, avec une marge de sécurité, à l’aéroport Magenta de Nouméa.

Aéroport Magenta - Nouméa

Cet aéroport est plus petit que celui de La Tontouta car il ne dessert que les lignes intérieures (les îles Loyautés avec Ouvéa, Lifou, Maré et Tiga, l’île des Pins bien sûr, mais aussi Koné sur la côte ouest et Touho sur la côte Est).

A 7h50, les bagages étaient enregistrés et nous pouvions décoller à 8h40 pour un vol d’une petite demi-heure à peine, l’ile des Pins se trouvant seulement à 105 km au sud.

Vue aérienne île des Pins

Les prévisions météos se sont vite confirmées, les nuages et la pluie allaient nous accompagner en vacances.

De fait, nous avons eu un temps très nuageux et de la pluie quasiment tous les jours en fin d’après-midi.

Mais malgré le temps couvert, les paysages étaient magnifiques. Et quand le soleil parvenait à percer les nuages, le lagon se mettait à briller dans un camaïeu de bleu incroyable !

Aérogare  Moué - Iles Pins

A l’arrivée à l’aérodrome de Moué, une navette nous attendait pour nous conduire à l’IGESA (Institution de Gestion Sociale des Armées) où nous avions réservé un bungalow, au bord de la baie de Kuto.

Profitant qu’il ne soit pas encore disponible, nous sommes partis découvrir la plage que nous avions longée en voiture en arrivant, à seulement une centaine de mètres… et qui faisait très envie !


Bâtiment d’accueil de l’IGESA installé dans une ancienne chapelle du temps du bagne.


A droite, sculpture totémique de notre bungalow « Îlot Tomere ».


La première impression est irréelle et on se demande si on n’est pas en train de rêver.
Un vrai paysage de carte postale !

Sable très fin et blanc, eau transparente au bord et offrant un dégradé du bleu turquoise au bleu saphir en fonction de la profondeur de la baie…

Un vrai appel au farniente sous les cocotiers et les pins colonnaires, et surtout à la baignade, chose faite dès le début d’après-midi avant l’averse de 15h30.

Le séjour s’annonce bien !

Des petites mains avaient même sculpté un requin de sable pour nous accueillir et compléter la carte postale !

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