Voyage et arrivée en Nouvelle-Calédonie
Voyage et arrivée en Nouvelle-Calédonie

Voyage et arrivée en Nouvelle-Calédonie

Après un vol Pau / Paris CDG Roissy le dimanche 25 juillet 2021 en début d’après-midi et une nuit à l’hôtel, le grand jour du départ est arrivé.

Lundi 26 juillet, nous quittons l’hôtel à 8 heures et après 50 minutes de trajet nous voilà au Terminal 2. Après 2 heures d’attente pour présenter nos passeports et tests PCR négatifs, l’enregistrement des bagages est fait et nous passons le contrôle de sécurité pour nous retrouver en zone Duty Free à 11h15.

Des chariots à bagages bien chargés…

A 13h20, l’heure est enfin venue d’embarquer dans le Boeing 777-300 ER d’Air France qui va nous emmener à Tokyo où se déroule les Jeux Olympiques d’été. Nous voyagerons donc avec de nombreux membres de l’équipe de France Olympique, mais aussi des athlètes du Mali, du Chili ou de la République Tchèque…

Avec 1 heure de retard, nous décollons à 14h56 pour un vol de 10.050 km !

Vol Paris CDG Roissy / Tokyo Narita

A 2 heures du matin heure de Paris, 9h au Japon, nous atterrissons à l’aéroport de Tokyo Narita. L’ambiance est étrange : l’aérogare est vide et nous sommes guidés par une haie d’employés en combinaison de protection, portant gants, masque et visière, vers notre terminal de correspondance. Ambiance COVID…

Des Kitkat verts !
Le téléphone aussi est vert…

Décidemment, les japonais trouvent notre présence embarrassante. Le décollage de notre correspondance pour Nouméa est avancée d’1h15 !

Terminal 1 – Aéroport Tokyo Narita

Cette fois, nous volerons sur un Airbus A330-900 d’Air Calin pour rejoindre l’aéroport de La Tontouta, un dernier périple de 6.948 km…

Le chargement des bagages étant assez long, nous décollons finalement avec une heure de retard. Et après un vol sans encombre, nous nous posons sur le sol néo-calédonien à 23 heures.

Airbus A330-900 d’Air Calin

2ème partie du voyage : Tokyo – Nouméa

Après 1 heure passée à récupérer les bagages, les empiler sur deux chariots et remplir les questionnaires de biosécurité, nous montons dans un des quatre bus affrété par l’armée.

50 km et 1 heure de route de nuit plus tard, notre bus se gare devant l’hôtel Nouvata. Encore 30 mn de patience dans le bus et nous pouvons rejoindre notre chambre avec une collation après avoir fait viser nos passeports et récupéré la clé. 1h40 du matin, la fatigue se fait sentir mais il faut défaire un minimum les bagages, se rafraichir un peu et se restaurer. Enfin, à 3 heures du matin, il est temps de s’allonger de façon confortable et de fermer les yeux.

Avec toutes ces heures de vol et le décalage horaire qui est de 9h avec la métropole (heure d’été à Paris), les journées du 26 et 27 juillet ont finit par se mélanger pour ne former qu’un long tunnel d’où il nous faudra plusieurs jours pour émerger, les enfants récupérant plus vite que nous !


Au programme, 14 jours enfermés dans notre chambre avec prise de température le matin entre 7h et 8h, puis vers 14h. Les conditions sont strictes, nous ne devons rien toucher en dehors de nos chambre. C’est un de nos chaperons qui appuie sur les boutons de l’ascenseur…

Un jour sur deux, nous avons droit à une balade autour de la piscine de l’hôtel. Les mardi et vendredi, c’est séance de sport méthode Tabata sur le balcon.

Trois fois par jour, des sachets repas sont distribués à notre porte. Nous disposons dans la chambre d’un petit réfrigérateur, d’un four micro-ondes et d’une bouilloire pour la partie restauration.

Sculptures totémiques kanaks

Notre cour de récréation près de la piscine.
La chambre avec 4 lits.
Petit déjeuner quotidien « tiré du sachet »…

Si la première semaine est passée relativement rapidement, la seconde a été bien longue et c’est avec soulagement que le mercredi 11 août, après un ultime test PCR négatif, nous sommes libérés.

A 8 heures, nous franchissons les portes pour nous retrouver du côté jusque là interdit et profiter d’un petit déjeuner au restaurant de l’hôtel Nouvata. Vers 9 heures, c’est le départ en minibus, destination Bourail où nous sommes attendus vers 11 heures pour le déjeuner à la 3ème compagnie du RSMA (Régiment du Service Militaire Adapté).

Nous repartons vers 12h30 et arrivons enfin à Koné à la 2ème compagnie du RSMA vers 14 heures. Après avoir été accueillis par les cadres, Florence commençant son travail dès le lendemain jeudi 12 août, nous récupérons nos bagages et notre nouvelle voiture pour rejoindre notre logement.

Notre nouvelle vie en Nouvelle-Calédonie peut commencer…

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